L’impact des fermetures des écoles a peut-être été sous-estimes, l’école à un enjeu social. Au-delà des retards accumulés avec l’école à la maison, les étudiants ont aussi perdu leurs repères. 

Les inégalités qui existaient déjà avant la pandémie se sont intensifiés avec celle-ci, les disparités se sont intensifiées, certains élèves se sont retrouvés de fait privilégié par rapport à d’autres. Les confinements ont été un calvaire pour certains notamment les enfants maltraités et enfermés directement avec leurs bourreaux, par suite du confinement toutes les mesures d’accompagnement éducatif ont été interrompues.

Il est clair que le Covid n’a jamais eu de précédent dans les sociétés modernes, il a chamboulé nos vies et nos quotidiens, mais nous remarquons maintenant que nous avons 3 ans de recul, que beaucoup de problèmes sont mis sur le dos du virus. Cela est vrai notamment avec le cas que nous avons traité un peu plus haut, le diplôme de fin de lycée. Le manque d’informations en 2020 était justifiable au vu des circonstances exceptionnelles, nous notons cependant qu’aujourd’hui, en 2023, il y a toujours un manque cruel d’informations chez les étudiants, la plupart se sentent perdu et ne savent vers où ils vont. J’ai remarqué cela en interrogeant un élève en Italie en dernière année de lycée, alors que je m’attendais à comparer ce qui avaient été fait entre 2020 et 2023 je me suis vite aperçu qu’en réalité il n’y avait pas vraiment d’évolution. Je vous laisse ci-dessous le témoignage de l’élève en question que j’ai interrogé.

Ce qui est vrai pour le diplôme l’est également et malheureusement vrai pour pleins d’autres domaines. 

C’est certainement une vision négative de tirer seulement le négatif de cette épidémie. Étant de nature positive je préfère finir mon propos sur une note positive. Les problèmes liés à la pandémie sont multiples, pas niables et toujours présents. Mais il est vrai que les divers confinements due au virus ont aussi eu leurs lots d’avantages pour nous mais aussi pour l’environnement par exemple, avec l’intégration totale du smart working dans nos sociétés mais aussi d’un côté plus humain et philosophique d’une concentration sur soi-même, l’importance du bien-être, beaucoup ont mis un frein à leur vie réalisant que cela valait plus sur le côté professionnel. 

Du coté des étudiants, cela a révélé une envie de voyage, de découvrir le monde, les échanges entre pays et universités se sont multipliés plus que jamais 

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